Nos publications

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Thommen, E., Rossini, E., Di Fulvio, A., Rudelli, N., Cattelan, C., Zecchin, M., & Guidetti, M. (2016). Le pointage dans l’autisme : Évolution de la compréhension et de la production après 6 mois d’intervention précoce. Enfance, (4), 445‑459. https://doi.org/10.4074/S0013754516004080

Thommen, É., Suárez, M., Guidetti, M., Guidoux, A., Rogé, B., & Reilly, J. S. (2010). Comprendre les émotions chez les enfants atteints d’autisme: regards croisés selon les tâches. Enfance, 3, 319-337.

Thommen, E., & Zbinden Sapin, V. (2012). La qualité de vie pour les adultes atteints d’autisme avec un besoin de soutien important. Revue suisse de pédagogie spécialisée, 1, 35-42.

Zbinden Sapin, V., Thommen, E., Baggioni, L., Eckert, A. & Liesen C. (2016). Autisme : quels accompagnements en Suisse ? Reiso : revue d'infomation sociale, mis en ligne 4 juillet.

Autisme et nouvelles technologies : de quelles manières et dans quels domaines sont utilisées les nouvelles technologies numériques chez les enfants avec autisme au sein des écoles spécialisées ? (Barmaverain Sabrina, Bornoz Loïs et Emonet Carolane, 2018).

L'adolescent-e et son frère ou sa soeur avec un trouble du spectre autistique. Comment vit-elle-il cette situation ? Quels sont ses besoins et quels soutiens lui sont apportés ? (Anouck Willemin, Célia Willemin et Romain Papaevanghelou, 2017).

Trouble du spectre de l'autisme et sports collectifs : une relation possible ? Le développement des compétences sociales et motrices à travers la pratique du basketball auprès d'adolescents et jeunes adultes atteints de TSA. (Maxime Fae, Luca Martinez et Pedro Pessoa, 2017).

Un jeune pas ordinaire est un jeune extraordinaire ! Durant sa formation professionnelle de quel soutien bénéficie une personne qui vit avec le syndrome d'Asperger ? (Florian Reynaud, 2015/2016).

Satisfaction sexuelle des personnes Asperger : quelle est la satisfaction sexuelle ressentie par les personnes Asperger à l’âge adulte, et quels sont les facteurs qui influencent la satisfaction ? (Valentin Altermath, Rodan Bury et Anita Rouvinez, Septembre 2016).

Le point de vue des parents sur l'indépendance des personnes adultes ayant un trouble du spectre autistique : les services d'accompagnement à domicile et les conséquences pour l'ergothérapie (Alison Borda, Myriam Chabloz et Julie Mulsan, Octobre 2015).

Partenariat entre parents et professionnels autour d’une personne atteinte d’autisme : recherche sur les éléments qui favorisent ou qui péjorent la collaboration (Reynaud Deteuf, Septembre 2015).

L'accompagnement en emploi de personnes présentant un trouble envahissant du développement : le cas des personnes sans déficience intellectuelle (Anna Peev, Juin 2015).

L'intégration des enfants en situation de handicap au sein de classes ordinaires (Quentin Pasqualino, Juin 2015).

Veilles scientifiques

Particularités dans l'organisation cérébrale des personnes avec autisme

Recherches sur les marqueurs de l'autisme au niveau cérébral

L’imagerie cérébrale permet l’identification de particularités de fonctionnement dans le sens de marqueur biologique du trouble. L’intérêt principal étant de détecter le plus précocement possible l’autisme et ainsi d’offrir une prise en charge dès le plus jeune âge.

Particularités dans le traitement de l'information

Des particularités dans le traitement de l’information sociale sont fréquemment observées chez les personnes avec un TSA. Une première hypothèse avancée est celle du « cerveau social » (« social brain hypothesis ») : le biais d'orientation sociale habituellement relevé chez le sujet neurotypique serait bel et bien présent dans le cas de l’autisme mais disparaîtrait à partir de l’âge de 12-24 mois (Ozonoff et al., 2010 ; Elsabaggh et al., 2013a ; Elsabbagh et al., 2013b ; Jones & Klin, 2013). Une seconde hypothèse est celle d’une perturbation de facteurs neurocognitifs généraux. Les difficultés observées dans le traitement de l’information sociale seraient liées à une perturbation de facteurs généraux tels que les fonctions exécutives et le traitement sensoriel (Gliga et al., 2014).

Les thérapies alternatives et complémentaires

L’engouement pour les thérapies alternatives et complémentaires est grandissant : en comparaison avec un groupe contrôle, les enfants avec un TSA bénéficient de deux fois plus de ces formes de thérapie (Wong & Smith, 2006).

Les traitements biologiques

Les données recueillies permettent de conclure à l'inefficacité des régimes sans gluten et du traitement avec des Oméga 3. Concernant la thérapie hyperbare et les suppléments vitaminés, des recherches montrent des effets mais les méthodologies présentent des risques de biais qui amènent les auteurs à recommander d'attendre d'autres recherches avant de préconi- ser ces traitements. 


Les traitements non biologiques

L’entrainement à l'intégration auditive n’est pas recommandé, les recherches annonçant des résultats probants pour cette thérapie présentent de grands défauts. La musicothérapie semble quant à elle avoir des effets bénéfiques dans certains domaines tels que la communication, les émotions ou encore l’anxiété. Les résultats des recherches concernant la thérapie d'intégration sensorielle, l'acuponcture et les massages appuient prudemment l'usage de ces traitements bien qu'il y ait de nombreuses faiblesses et des surinterprétations de résultats. Ces quelques résultats positifs ne suffisent pourtant pas pour justifier leur usage. Il est important de souligner que, s’ils sont utilisés, les traitements alternatifs et complémentaires doivent l’être en plus d’un accompagnement qui suit les recommandations internationales et non à la place de celui-ci.

Utiliser les nouvelles technologies : point de situation

L’efficacité de l’utilisation des nouvelles technologies pour les interventions menées auprès de personnes avec un TSA a été rapidement reconnue, notamment pour l’apprentissage et l’exercice de la reconnaissance des expressions faciales ou pour celui des compétences sociales (Durkin, 2010 ; Ploog, Scharf, Nelson & Brooks, 2013). Toutefois, bien qu’il existe de nombreux écrits mettant en avant les bénéfices de ces outils et recommandant leur usage (Mistrett, 2004), peu s’appuient sur des données scientifiques (Campbell, Milbourne, Dugan & Wilcox, 2006). De plus, la diversité des projets et de leur méthode d’évaluation empêche la généralisation des résultats (Grossard & Grynszpan, 2015). Les professionnels doivent quant à eux être conscients des forces et faiblesses de ces supports et être entraînés à les employer (Ayres, Mechling & Sansosti, 2013). En effet, il est nécessaire d’utiliser des applications développées spécifiquement pour le public cible et de rester vigilant car une utilisation excessive peut conduire à l’enfermement et à l’isolement social (Durkin, 2010 ; Ramdoss et al, 2012). 

Autisme : la part de la génétique et de l'environnement

La recherche en génétique ne cesse de progresser, les découvertes en lien avec l’autisme sont nombreuses, mais encore insuffisantes pour connaître l’étiologie exacte du trouble. Nous notons qu’il existe aujourd’hui des pistes importantes sur le plan de la génétique, mais qu’une vue d’ensemble, prenant en compte l’interaction de multiples facteurs, à savoir génétiques, épigénétiques et environnementaux, semble indispensable pour expliquer et comprendre l’autisme. Ainsi,  la collaboration entre les divers professionnels du domaine, que ce soit de la recherche ou de la clinique est un point crucial pour faire avancer la recherche.

Les activités avec les animaux

Depuis quelques années, la thérapie animale, appelée aussi médiation animale, zoothérapie ou encore thérapie assistée par l’animal est sujette à controverse. Alors que certaines études récentes prônent les intérêts d’une telle approche dans le domaine de l’autisme, d’autres mettent en avant des résultats peu probants. Le lien qui se crée entre l’être humain et l’animal peut certes participer à l’amélioration de la santé mentale, mais la thérapie animale reste très souvent une approche non spécifique à l’autisme qui ne prend pas en compte les particularités liées au trouble.

Les compétences de jeu  

Par le jeu, l’enfant va enrichir ses expériences, il va pouvoir entrer en relation avec son entourage, expérimenter des rôles différents, confronter son imaginaire à la réalité ou encore affirmer ses préférences dans le choix de certaines activités. Ainsi, jouer implique l’activation de multiples compétences : psychomotrices, relationnelles et cognitives. Les difficultés rencontrées par les enfants avec un TSA au niveau des interactions sociales entravent directement le développement des compétences dans le jeu; il paraît donc important d’évaluer ces habiletés et de les entrainer à l’aide de programmes spécifiques tels que le ESDM ou encore le PRT. Apprendre le jeu et jouer en apprenant sont alors des notions essentielles à une prise en charge adaptée à l’autisme.

Les relations sociales des adolescents avec TSA

Une étude récente parue dans la revue "Re­search in Autism Spectrum Disorders" montre que la proximité entre l’enseignant et l’enfant avec TSA est moindre par rapport à celle observée avec des adolescents neuroty­piques. Les caractéristiques même du trouble, sa sévérité ainsi que le manque d’informations pourraient être des explications à la particularité de cette relation. Les relations avec les pairs sont également affectées avec une perception et une description de l’amitié entravées par les difficultés associées au trouble.

Le passage à l’âge adulte et au monde du travail 

Avoir un emploi est un élément important pour la construction de l’identité personnelle, pour l’estime de soi, les relations so­ciales et améliore la qualité de vie. Pourtant les recherches actuelles montrent que seulement 10 à 50% des per­sonnes avec TSA auraient accès à une activité professionnelle. Un soutien professionnel apporté à l’individu ainsi qu’aux employeurs et collaborateurs est pourtant amplement bénéfique et permet d’acquérir un emploi durable et ajusté aux compétences de la personne. Un programme d’entrainement spécifique a même été développé dans le but d’augmenter la compétitivité des jeunes avec TSA dans le monde du travail.

L’autisme en Suisse

En Suisse, les prestations diagnostics se sont considérable­ment améliorées ces dernières an­nées. Ces améliorations ont entraîné une augmentation des bénéfi­ciaires de prestations de l’assurance invalidité fédérale (AI) qui, rappelons-le, n’indemnise des prestations que lorsque le diagnostic a été posé avant l’âge de 5 ans. En ce qui concerne les enfants avec TSA, les coûts les plus importants sont l’éducation spécialisée et la perte de productivité des parents. Pour les adultes avec TSA, il s’agit de l’hébergement, des soins médicaux ainsi que du manque de productivité de ces personnes elles-mêmes. Bien qu’encore insuffisantes, de bonnes initiatives telles que l'entraînement aux habiletés sociales, l'entraînement pour l'inser­tion professionnelle et le subventionnement de centres d'interventions précoces ont vu le jour ces dernières années en Suisse.

Les thématiques présentées à l’IMFAR, San Sebastian, mai 2013

La majorité des travaux présentés concerne les aspects biologiques et neurologiques de l'autisme. Le versant clinique est également bien représenté dans ce congrès alors que le domaine de l’épidémiologie et de la technologie ne représentent quant à eux qu’une infime proportion des recherches exposées.

L’ « ESSENCE », un nouveau modèle proposé par Gillberg

Bien que multiples, les symptômes de l’autisme relevés au plus jeune âge ne permettent pourtant que très rarement d’obtenir un diagnostic précis. En effet, tous les critères nécessaires à la mise en place d’un diagnostic ne sont pas forcément présents ou difficilement observables. Ainsi, Gillberg (2010) propose un nouveau concept, nommé « ESSENCE » (Early symptomatic eliciting neurodevelopmental clinical examinations), spécifiquement élaboré pour évaluer les troubles neurodéveloppementaux précoces. Il propose d’instaurer une priorité à la détection précoce des troubles neurodéveloppementaux plutôt qu’au diagnostic différentiel.

Les aspects sensoriels de l’autisme

70,4% des personnes avec autisme présentent des intérêts sensoriels inhabituels et 66% des réponses sensorielles négatives. Des études récentes se sont penchées sur la description et la prévalence de ces troubles. Quatre types de réponses sensorielles seraient à évaluer : l’hyposensibilité / hypersensibilité, les intérêts sensoriels, les comportements répétitifs et comportements de recherche ainsi que la supériorité du traitement perceptif.

Le congrès Autisme Europe, Budapest 2013

Le domaine de l’intervention en autisme est prépondérant dans ce congrès Autisme Europe contrairement à celui de l’IMFAR qui se centre essentiellement sur les aspects neurobiologiques de l’autisme.

Quatre programmes d’intervention semblent aujourd’hui devenir des standards internationaux dans le domaine de l’autisme : les approches comportementales (ex : ABA), celles basées sur l’éducation structurée (ex : TEACCH), les approches socio-développementales (ex : DIR, Floortime) ainsi que les approches compréhensives ou éclectiques (ex : ESDM, SCERTS).

Quelques actualités générales

La prévalence du Trouble du Spectre de l'Autisme

Le « Center for disease control and prevention » aux Etats-Unis a publié des chiffres représentant une augmentation de la prévalence de 23% en 3 ans : 1 enfant sur 88 présenterait un trouble du spectre de l’autisme. En France, la HAS (Haute Autorité de Santé) parle d’un enfant sur 150 ; prévalence qui devrait être semblable en Suisse.

Les changements de diagnostic du DSM-5

Une nouvelle version du DSM est apparue : le DSM-5. L’autisme est désormais conçu comme un trouble unique avec des manifestations allant d’un bout à l’autre d’un même continuum. Le DSM-5 laisse alors place à une seule catégorie diagnostique : le Trouble du Spectre de l’Autisme (TSA). L’altération des interactions sociales et celle de la communication sont à présent regrou­pées sous le même chapeau, à savoir l’altération de la communication sociale. Les spécificités sensorielles fréquemment observées dans l’autisme sont quant à elles prises en compte et la sévérité du trouble est établie en terme de besoin de soutien.

Les recommandations des autorités françaises

Le guide de recommandations de bonne pratique en autisme publié par la Haute Autorité de Santé (HAS) met en avant 6 axes : considérer la famille dans son entièreté ; évaluer régulièrement le développement de l’enfant, mettre en lien évaluations et projet personnalisé, intervenir précocement, encadrer les prescriptions médicamenteuses, assurer la cohérence, la continuité et la complémentarité des interventions.  

De nouvelles méthodes d’intervention

Un modèle d’intervention destiné aux plus petits : le Early Start Denver Model

Le « Early Start Denver Model » -ESDM- (Rogers & Dawson, 2010) est un modèle qui propose aux enfants présentant un trouble du spectre de l’autisme une intervention intensive dès l’âge de 12 mois. Le focus est placé sur le développement de la communication et des compétences sociales à travers le jeu et l’affect positif.

L’intervention en milieu scolaire : agir auprès des pairs

L’intégration scolaire des enfants présentant un trouble du spectre de l’autisme est un sujet au cœur des polémiques. Une étude de Kasari, Rotheram-Fuller et Gulsrud (2012), montre que l’intervention la plus efficace est celle centrée sur les pairs de l’enfant présentant un trouble du spectre de l’autisme.

Des découvertes sur le plan médical

Un marqueur biologique de l’autisme

Une étude récente de Wolff et al. (2012), nous montre qu’il existe, dès l’âge de 6 mois une différence observable au niveau des voies de communication utilisées par le « cerveau autiste » en comparaison à celle utilisée par le « cerveau neurotypique ». Les auteurs parlent de la découverte d’un éventuel marqueur biologique de l’autisme.

Un nouveau traitement médicamenteux : l’Arbaclofen

Un nouveau traitement thérapeutique pourrait diminuer les symptômes de l’autisme : l’Arbaclofen (Berry-Kravis et al., 2012). Les résultats d’une étude menée avec 63 participants  montre une amélioration globale du fonctionnement social.

Conférences

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