Evénement

Que peut faire la HETSL pour promouvoir la diversité de genre et d’orientation sexuelle et affective ?


Publié le

À la veille de la journée de lutte contre l’homophobie et la transphobie, la HETSL et son Réseau Genre et travail social (GeTS) ont eu le plaisir d'accueillir Caroline Dayer et Catherine Fussinger, déléguées cantonales aux questions LGBTIQ, pour amorcer un moment de discussions et d’échanges autour de politiques institutionnelles à mettre en place pour assurer un lieu de formation inclusif et sécurisant pour toutes et tous.

Inclusion, diversité, égalité doivent pouvoir être garanties au sein de la HETSL, que ce soit dans les formations ou sur les lieux de formation pratique. L’événement « Échanges autour de la prévention de l’homophobie et de la transphobie ainsi que de la promotion de la diversité à la HETSL » avait pour objectif de lancer une démarche participative pour développer des mesures et une politique institutionnelle pour lutter contre toute forme de discrimination.

Un éclairage a été fait sur l’existant pour pouvoir penser la suite. Cette rencontre a permis de donner la parole autant au personnel qu’au corps estudiantin pour aborder les thématiques de transphobie et d’homophobie et toute sorte de discrimination pouvant émerger sur le lieu de formation et réfléchir ensemble à des pistes d’actions concrètes, telle qu’une amélioration des normes et pratiques institutionnelles pour une meilleure reconnaissance de la diversité.

Ce plan d’action doit pouvoir agir sur trois axes, en urgence :

  1. prévenir les violences homophobes et transphobes et toute autre forme de discrimination,
  2. consolider la prise en charge de toute forme de discrimination avec la transmission de ressources,
  3. et mener des campagnes de sensibilisation.

Le personnel et des étudiant·e·s ont également formulé la nécessité de renforcer les enseignements autour de ces thématiques pour monter en compétences les futur·e·s professionnel·le·s du travail social et de la santé qui auront un rôle majeur à jouer sur leur lieu de pratique en termes d’inclusion et de prévention de violences homophobes et transphobes.

Prochaine étape : rencontre avant l’été avec les personnes intéressées, pour identifier les ressources à disposition et finaliser une proposition de démarche et plan d’action.

 

Vous souhaitez participer à la suite de la démarche ou juste transmettre encore une idée ou suggestion, vous pouvez contacter Noémie Pulzer.