Le dernier chapitre de cet ouvrage sur l'action communautaire explique en quoi les récits proposés appréhendent l’action communautaire comme une praxis citoyenne et démocratique, c’est-à-dire qu’ils font la démonstration d’une mise en application d’une citoyenneté active et qu’ils permettent à la démocratie d’évoluer et de se réinventer. L’action communautaire positionne ainsi le travail social comme une force politique de résistance, qui permet d’offrir une alternative à une société dans laquelle l’individualisme et la concurrence sont généralisés.