BRAVO aux diplômé·e·s 2023 de la HETSL !

La Haute école de travail social et de la santé Lausanne (HETSL) félicite ses diplômé·e·s 2023 pour l’obtention de leur Bachelor HES-SO en Travail social et en Ergothérapie !

La remise des diplômes a été célébrée le 16 novembre dernier à la salle Métropole, en présence des diplômé·e·s et de leurs proches. La HETSL a remis à cette occasion 73 diplômes en Ergothérapie et 179 diplômes en Travail social. Grâce au soutien de ses partenaires, la HETSL a aussi remis huit prix en guise de reconnaissance d’une excellence particulière. La fête s’est poursuivie en famille après un apéritif, puis au D ! Club à l’invitation de l’association d’étudiant·e·s HETSLibre.

Galerie photos

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Diplômé·e·s Ergothérapie (73)

Manon Arm, Karin Baechler, Hannah Bélanger, Katia Bertinelli, Zoé  Bianchi, Célia  Bily, Loriane Bongard, Julien Charles Both, Emma Boudier, Angélique Bourgeois, Hadrien Brondel, Corentin Bugnon, Johanna Burri, Elodie Casari, Giulia Cavallini, Laetitia  Chanton, Anaïs Christen, Kalua Corelli, Marie Couturier, Dani De Almeida, Anne  De Heer, Clémentine Délèze, Manon Nedjma Dietter, Catarina Maria Duarte Oliveira, Théa Angèle Filiberti, Romain Flückiger, Marie Galley, Tamara Gaudin, Coline Graber, Nadia Graf, Olivier Gumy, Céline Huber, Kayvan Imthurn, Cassy Simone Jacquat, Morgane, Jorand, Andrea  King, Mathieu Koll, Delphine Kolly, Lucia Kozic, Pauline Kunz, Clara Laub, Léa Lemaresquier, Bruna Filipa Louro Sebastião, Lola Macquat, Eric Magnin, Justine  Manuel, Naïs Marchand, Solene Marti, Lorenzo Michelet, Elise  Nicodet, Eva Nicoulin, Naomi  Normandin, Katia Occhipinti, Loïs Pechkranz, Maëlle Perret, Hanna Pfäffli, Simon Pilet, Doriane Rickli, Laetitia Rossmann, Estelle  Rouiller-Monay, Samia Lou Rytz, Marine Savoy, Aurélie  Schaller, Alice Scherrer Sandra Sonnard, Christelle Spoerry, Lucas Trezzini, Aurelia Trian, Elena Vital, Lorraine Volz, Laurane Wermeille, Jeanne Zen-Ruffinen, Alexiane Zutter

Diplômé·e·s Travail social, orientation animation socioculturelle (19)

Zacharie Bellon, Clara Bishop, Charlotte Bonetti, Eloïse Chamot, Alfonso D'Angelo, Djordje Dragojlovic, Fanny Hanser, Victoria Jones, Stefanie Jose, Romane Krayenbühl, Anastasia Leresche, Kelmy Martinez, Catia Pires Lourenço, Noa Ribaux, Charlotte Roth, Théo Starobinski, Maxime Vionnet, Buse Yolal, Sacha Zimmermann

Diplômé·e·s Travail social, orientation éducation sociale (111)

Rahib Al Maleki, David Backner, Chloé Beaud, Youssra Ben Jelloun, Yves Berberat, Maude Bertin, Muriel Bloch, Guillaume Boucher, Lauryne Bovey, Patrick Braillard, Yaëlle Brodard, Tess Brülhart, Sara Caputo, Romain Cerutti, Elodie Chapotot, Marine Chédel, Pauline Collomb, Morgane Corbelin, Romain Cornu, Pamela Cucuzza, Florian Curchod, Oriane Da Silva, Lou-Anne De Martini, Romane De Martini, Antonin Delessert, Fanny Dellea, Corona Devaux, Marine Devins, Antonio Alessio Di Biase, Thibault Dorsaz, Alessia Dubuis, Rafael Durussel, Halima El Mansouri, Matthieu Ernst, Sébastien Fatio, Julie Favez, Coline Ferrari, Dhouha Fersi, Giorgio Folli, Chloé Foretay, Noémie Fragnière, Lorène Fumeaux, Leïla Geara, Louise Genoud, Cloé Germain, Manuela Gibilisco, Mélissa Giller, Adrian Girard, Léa Goasguen, Julie Grandchamp, Laureen Gueissaz, Emilie Guisolan, Saphir Haubois, Roxane Hofstetter, Giulia Iannello, Gaspard Jaccottet, Jean-Christophe Jaques, Bastien Joly, Alex Junod, Laura Kebbi Beghdadi, Milena Keller, Antoine Laurent, Pamela Leu, Laetitia Lude, Kevin Mangiamele, Romain Marcuard, Oriane Maret, Océane Martin, Olivia Mavilla, Alessandro Mazzi, Camille Meier, Olivier Merz, Masha Mihajlovic, Yannick Moizeau, Ambre Mottet, Jaelle Muriset, Maeva Nardin, Diana Nascimento, Henritte Pulchérie Ngoualem Donfack, Emma Oribasi, Tristan Padoy, Benjamin Paredes, Robin Paschoud, Giulia Pelletier, Alix Perraudin, Tom Perusset, Nikita Pitt, Adrien Presti, Marjolaine Rhyner, Mégane Ribordy, Virginie Rochat, Julia Roulin, Jolan Dan Ruscio, Andreia Salgado Fernandes, Gauthier Saner, Séverine Sauser Cressier, Marion Sauteur, Marc Schmied, Cléa Seydoux, Molly Siegrist, Lucien Späthe, Yasmine Stasi, Samira Staub, Emilie Ticon, Jennifer Tropea, Célia Veneziani, Yuly Marcela Vivas Rodriguez, Coraline Voisard, Brandon Wirth, Elena Yika, Leyla Zingarelli

Diplômé·e·s Travail social, orientation service social (49)

Rayan Al-Noueiry, Maïck Are, Matteo Barbaro, Samuel Bigler, Nadine Bühler, Ralph Bürgi, Elorie Bussy, Yohanny Carrasco Dominguez, Maximilien Carron, Amélie Carruzzo, Jay Cornillat, Elodie Correia, Sophie Del Barba Corana, Ivana Djokic, Arnaud Dorta, Liza Dubois Salazar, Florentin Dzoupeth, Léa Frésard, Fernanda Furtado De Medeiros Braga, Paola Giuliano, Léa Goasguen, Solène Grand, Alyssa Häfliger, Nour Hammami, Chloe Klappert, Rose Krattinger, Dana Lamouille, Romain Lemarié, Laura Lopez, Ana-Flora Makuntima, Nora Michaud, Cristiana Moreira Anastacio, Lara Péché, Alexandra Pereira Paiva, Sandra Patricia Quintero, Ambroise Ramel, Laura Raymondaz, Virgine Roy, Sophie Ruggiero, Elvan Sahin, Aurélie Schmidiger, Gwendoline Schwab, Yasmine Souaï, Yohan Stauffer, Coralie Terreaux, Camila Trossero, Naomi Vallotton, Lucy Veiga De Brito

Huit prix ont été remis à des diplômé·e·s

La HETSL récompense chaque année des actes de formation destinés à préparer les diplômé·e·s pour la suite de leur parcours professionnel : que ce soit un parcours d'études particulièrement méritant, une période de formation pratique exemplaire ou des travaux de Bachelor d'exception.

Lors de la soirée, la HETSL a exprimé une profonde reconnaissance à toutes les organisations et personnes qui ont contribué à la remise de ces prix. Leur générosité et leur engagement envers la formation sont la pierre angulaire de la capacité de la haute école à encourager l'excellence académique. C’est le reflet de la diversité des domaines couverts par le travail social et l’ergothérapie. Cela témoigne aussi d’une collaboration étroite avec les milieux de la pratique ainsi que de l’intérêt que les institutions portent aux travaux réalisés, que ce soit en termes d’implication sur le terrain, d’engagement dans les études, ou d’efforts de recherches pour documenter des phénomènes sociaux, questionner des dispositifs existants, donner à voir des réalités méconnues.

Et les lauréat·e·s sont…

Prix de l’Association Suisse des Ergothérapeutes (ASE)

Filière ER : «  Le ressenti et le vécu des enseignants ordinaires concernant l'inclusion d'enfants à besoins éducatifs spécifiques dans le cadre du Concept 360° »

Emma Boudier, Anaïs Christen et Samia-Lou Rytz

Le Prix de l’ASE récompense un Travail de Bachelor en Ergothérapie d’excellente qualité, dans le domaine de la politique professionnelle ou du développement professionnel.

Dans leur travail de Bachelor, Emma Boudier, Anaïs Christen et Samia-Lou Rytz ont exploré de manière approfondie le ressenti et le vécu d’enseignant·es de l’école ordinaire concernant l'inclusion d'enfants à besoins éducatifs spécifiques dans le cadre du Concept 360 mis en place dans le canton de Vaud. De leurs résultats ont découlé des recommandations pour favoriser les collaborations entre les enseignant·es et les ergothérapeutes qui interviennent auprès des enfants à besoins éducatifs spécifiques.

Elles ont mis en avant l’importance de définir et de promouvoir la profession d’ergothérapeute dans les milieux scolaires afin que ses rôles, ses valeurs et ses interventions soient mieux compris par les enseignant·es. En plus de promouvoir le travail pluridisciplinaire, ce travail permet de mettre en avant que le fait d’inclure des ergothérapeutes dans les écoles en Suisse permettrait une prise en charge précoce et universelle, ce qui pourrait diminuer les listes d’attentes des cabinets.

Prix Croix-Rouge vaudoise

« Pratiques funéraires musulmanes vues et vécues par les professionnel·le·s de la mort en Suisse »

Nour Hammami et Yasmine Souaï

Le prix de la Croix-Rouge vaudoise est remis cette année à Nour Hammami et Yasmine Souaï pour la qualité de leur travail de recherche.

« Aucune âme ne sait ce qui lui arrivera demain, et personne ne sait dans quelle terre il ou ellemourra » (Coran, sourate 31, verset 34).

Depuis bien des années, la thématique de la migration questionne l’ensemble des sociétés occidentales, la Suisse n’y faisant pas exception. En effet, suite aux divers flux migratoires qu’a connu notre pays jusqu’aujourd’hui, les migrant∙e∙s occupent une place prépondérante dans l’actualité locale et internationale. Mais si la vie des migrant∙e∙s semble avoir trouvé considération auprès des politiques et des publics, qu’en est-il de leur mort ?

Ce travail de recherche s’intéresse à cette question en pleine émergence, en mettant la focale sur la mort musulmane. En effet, comment est-ce que les personnes musulmanes, majoritairement issues de la migration, vivent la mort en contexte d’Islam minoritaire ?

Au travers d’une approche qualitative basée sur des entretiens semi-directifs, ce travail étudie les pratiques des professionnel∙le∙s accompagnant les défunt∙e∙s musulman∙e∙s en Suisse. Il s’intéresse à l’articulation qui existe entre les cadres prescriptifs religieux et locaux. Aussi, par le biais de cette étude, et grâce aux témoignages des professionnel∙le∙s, il s’agit d’appréhender les pratiques funéraires des communautés musulmanes en Suisse à la lumière de réalités sociales et politiques locales.

Des entretiens menés, il ressort notamment que bien que les personnes de confession musulmane aient la conviction que la mort peut surgir en tout temps, et qu’aucun·e ne connait à l’avance la terre qui accueillera sa mort, il existe tout de même une profonde volonté de prévoir une mort digne qui soit en accord avec les croyances et les principes qui ont guidé sa vie en terre d’immigration. Et c’est justement dans cette dynamique que s’inscrit l’intervention des professionnel∙le∙s, dont la pratique est mise en tension entre ces prescriptions religieuses qui représentent la « bonne mort » pour les personnes musulmanes, et les prescriptions légales locales, qui encadrent leur travail au quotidien.

Prix Eben-Hézer

« Le choix de vêtements des personnes ayant une déficience intellectuelle et vivant en institution. Les opportunités, facilitateurs et obstacles présents dans ce processus de choix  »

Lou-Anne De Martini et Romane De Martini

Le Prix Eben-Hézer est décerné à un·e ou des étudiant·es pour la qualité d’un ou plusieurs actes de formation dans le champ du handicap.

En Suisse, beaucoup de personnes adultes ayant une déficience intellectuelle (DI) vivent dans des institutions. Elles bénéficient d’un accompagnement quotidien qui se veut le plus adapté possible aux besoins de chacune d’elles. Les notions d’autodétermination et de pouvoir « faire des choix » sont donc au centre de cet accompagnement et sont présentes dans les différents moments de la vie de tous les jours de ces personnes. Une de ces activités quotidiennes est le choix de vêtements. Ce dernier peut représenter un défi tant pour les personnes adultes ayant une DI vivant en institution que pour les professionnel·le·s les accompagnant au quotidien, et bon nombre de difficultés peuvent entraver ce libre choix.

L’objectif principal de cette recherche est de déterminer les obstacles et les facilitateurs au processus de choix de vêtements, perçus d’une part par les personnes concernées et d’autre part par les professionnel·le·s, tant dans la vie de tous les jours que dans les magasins.

Pour cet écrit, une recherche participative a été menée dans une institution en Suisse romande par le biais de questionnaires destinés aux professionnel·le·s et aux résident·e·s ainsi que par le biais d’entretiens effectués avec quatre de ces dernières et derniers. Les résultats montrent que différentes raisons sous-tendent le choix de vêtements et que différents facteurs font que le libre choix des résident·e·s peut être entravé. Effectivement, les normes sociales ou encore l’accessibilité sont deux éléments qui ont été majoritairement mentionnés par les participant·e·s. Ces deux axes, développés et argumentés dans ce travail, montrent finalement que pouvoir s’autodéterminer et pouvoir faire des choix dépend de nombreux facteurs, et que différents obstacles, présents au quotidien, viennent entraver le processus de choix de vêtements.

« Déficience intellectuelle et technologies : comment je paie mes courses ? »

Marc Schmied et Laetitia Lude

Le Prix Eben-Hézer est décerné à un·e ou des étudiant·es pour la qualité d’un ou plusieurs actes de formation dans le champ du handicap.

Les modalités de passage en caisse dans les magasins évoluent : caisse rapide, carte de crédits, scanner et même applications de téléphone. Tout un chacun·e a ses propres préférences et habitudes. Quelles sont les préférences des personnes présentant une déficience intellectuelle ? Comment les expliquent-elles ? Quels sont les facilitateurs et obstacles qu’elles identifient ?

À travers des entretiens semi-directifs menés avec les personnes concernées et des professionnel·le·s les accompagnant, ainsi qu’avec des observations lors de leurs courses, ce travail s’est intéressé aux différents facilitateurs et obstacles au moment de payer à la caisse.

Les résultats obtenus identifient les facilitateurs et obstacles relatés par les personnes concernées et par les professionnelles, pour les modalités de passage en caisse et de paiement. L’analyse des résultats met en avant les enjeux propres à chaque modalité. Ce travail relève que la diversité des possibilités, tant pour scanner que pour payer les produits, facilite l’accessibilité pour les personnes avec déficience intellectuelle.

Prix de la Fondation pour l’Animation Socioculturelle Lausannoise (FASL)

Pour son parcours de formation - filière Travail social (option Animation socioculturelle)

Maxime Vionnet

Le Prix de la FASL récompense un·e ou deux étudiant·es pour la qualité d’un ou plusieurs actesde formation en lien avec l’animation socioculturelle.

Maxime Vionnet s’est fortement engagé sur la thématique de la participation des publics tout au long de son parcours de formation dans la Filière travail social, option animation socioculturelle (ASC). De manière générale, il a su saisir les espaces formatifs lui permettant de développer ses compétences (savoirs faire, savoirs être et savoirs) relatifs aux enjeux de participation des publics. De plus, la Filière travail social relève sa capacité à prendre en compte les réflexions de ses formatrices et formateurs qui lui ont permis, assurément, de construire une posture professionnelle adéquate et de faire évoluer ses réflexions en lien avec des nouveaux enseignements et sa pratique en ASC.

La Filière travail social mentionne également sa capacité à ajuster ses interventions, celle-ci étant indispensable lorsqu’il s’agit de soutenir des processus participatifs avec des publics divers. Il s’est effectivement montré à l’écoute et attentif, aussi bien au contexte associatif qu’à la réalité des publics.

Prix OSEO

« Être lionne : ethnographie de la participation au sein d’un collectif de femmes vivant ou ayant vécu l’itinérance »

Jessica Chamoux et Livia Betti

Malgré certaines tentatives au niveau fédéral, il n’existe, aujourd’hui, en Suisse, aucun droit au logement. Des services financiers facilitateurs existent, mais, en 2022, plus de deux mille personnes seraient tout de même sans-abri (Office fédéral du logement, 2022). Le sujet du sans-abrisme reste peu étudié dans notre pays, de manière générale, et d’autant plus, d’un point de vue de la situation spécifique des femmes.

C’est pour cette raison que [les auteures ont] décidé d’aller à la rencontre d’un groupe de personnes proposant un projet novateur : créer un partenariat entre des politiques, des institutions et des femmes concernées pour mettre en place un projet répondant aux envies et besoins de femmes vivant ou ayant vécu l’itinérance. Ce projet, la Maison des Lionnes, est née de la collaboration entre la Municipalité de Renens, La Fondation Le Relais, Caritas Vaud et un groupe de femmes, les Lionnes. Ces dernières se retrouvant chaque semaine lors d’un Café des Lionnes. Ce Café est [le] terrain d’enquête. L’objectif de [ce] travail est de comprendre le sens de leur démarche dans le but de pouvoir répondre à la question suivante : De quelle manière, le Café des Lionnes permet-il une participation sociale des femmes vivants ou ayant vécu l’itinérance ?

Pour ce faire, [les auteurs ont] opté pour une recherche ethnographique qualitative. [Elles ont] utilisé les outils que sont les observations participantes, les entretiens de groupe semi improvisé ainsi que des entretiens semi-directifs pour récolter des données sur le terrain. [Elles présentent], dans ce travail, une sélection de ces données [qu’elles ont] interprétées grâce à l’analyse inductive selon Blais et Martineaux (2006, cité dans Blanc, Meignez & Franz, communication personnelle, 28 octobre 2022) pour leur « donner sens ».

[Elles ont] axé [leur] recherche sur la non-mixité, la collaboration horizontale et la reconnaissance par la visibilité. Il ressort de [leurs] résultats que ce sont les principaux outils utilisés dans le cadre de ce projet pour permettre une meilleure participation des femmes concernées. Ce travail [leur] a ainsi permis de mettre en lumière les bénéfices de la redéfinition des frontières de l’accompagnement entre les professionnel·le·s et le public concerné, centré sur un partage des savoirs. [Les auteurs espèrent] que ce travail contribuera à montrer qu’un partenariat qui place les femmes concernées au coeur du projet et les reconnait ainsi comme expertes de leur situation, est une approche qui mérite d’être développée et approfondie

Prix Claude et Monique Pahud

Pour la qualité de l'ensemble des ses études - filière Travail social

Romain Cerutti

Le Prix Claude et Monique Pahud est remis chaque année à un·e étudiant·e particulièrement méritant·e.La Filière travail social se plaît à relever l'excellence et la constance de Romain Cerutti tout au long de ses études, ce qui est d'autant plus remarquable qu'il a fait partie des volées ayant dû étudier partiellement à distance, rendant les apprentissages plus complexes. Quels que soient les modules ou les thématiques abordés, il a su faire preuve d'une grande qualité de réflexion et de questionnements qu'il a mis au service notamment de sa formation pratique.

L'excellence de ses deux périodes de formations pratiques démontre sa capacité à transposer les apprentissages de type académique au profit de l'action auprès des personnes accompagnées.Sans rentrer en détail dans les différents modules de son cursus, la Filière travail social met en exergue l’écoute et le respect dont Romain Cerutti a toujours fait preuve à l'égard de ses camarades ainsi que sa capacité à les entraîner dans la réflexion et la progression. Évoquons pour finir l’originalité ainsi que la très grande qualité de son travail de Bachelor.

Prix Rollier

Pour la qualité de l'ensemble des ses études - filière Ergothérapie

Angélique Bourgeois

Le Prix Anne-Marie Rollier est décerné chaque année à un·e étudiant·e en Ergothérapie qui a démontré des qualités particulières lors des cours de techniques professionnelles et également durant ses deux premiers stages de formation pratique.

Le Prix Rollier récompense cette année Angélique Bourgeois pour son engagement et les qualités qu’elle a démontrées pendant sa formation pratique. La lauréate a obtenu d’excellentes évaluations qui mettent en avant sa créativité et ses aptitudes relationnelles. Elle a pu notamment développer des moyens de compensation du déficit visuel et réaliser une présentation sur l’ergothérapie et la grossesse des femmes aveugles ou malvoyantes.

1 arbre 1 diplômé·e

En guise de félicitations pour la fin de leurs études, la HETSL offre un arbre à toutes et tous ses diplômé·e·s 2023 et leur propose de « S’engager. Au cœur de la société - et contre le changement climatique » ! Le projet se situe dans la région de Teso North, à l’ouest du Kenya. Face à l’urgence climatique, la HETSL promeut des initiatives de transition écologique. 

Informations sur www.almightytree.ch/hetsl23

Restons en contact

L’association des Alumni de la HETSL propose aux diplômé·e·s de la HETSL de rester en réseau avec vos ancien·ne·s camarades mais aussi d’échanger sur vos expériences professionnelles.  

Informations sur www.hetsl.ch/alumni