Entre émancipation et aliénation, plaisir et souffrance, qu’est-ce qui fait que l’on dure, ou non, dans l’éducation professionnelle de la petite enfance ? Comment comprendre la forte mobilité professionnelle que l’on observe dans les métiers de l’enfance comme dans l’entier du travail social ? Comment continue-t-on à travailler, à durer dans le travail, quand dans sa propre équipe, dans sa propre institution, un tournus perpétuel semble œuvrer comme une espèce de fatalité contemporaine ?
Et que penser de l’inquiétante pénurie, en train de se creuser toujours plus, de professionnel·les de l’enfance ? Durer dans le métier : dur, dur…
La Revue [petite] enfance est soutenue par la HETSL