Alors qu’on entame un second semi-confinement en Suisse pour contenir la pandémie du Covid-19, les raisons invoquées pour de telles mesures sont la nécessité de limiter les décès et éviter que les hôpitaux débordés ne doivent refuser des soins ou trier les malades. C’est donc au nom du bien commun que la liberté individuelle devait être restreinte.
Même son de cloche pour celles et ceux qui demandent à l’inverse un assouplissement des mesures pour la bonne marche de l’économie. C’est au nom des conséquences pour l’ensemble de la société de l’arrêt de certaines activités économiques qu’il faudrait lever ces interdictions.
Où se situe donc le bien commun? Découvrez l’article de Jean-Pierre Tabin, Professeur à la HETSL publié dans la Revue d’information REISO et dans le Journal du Syndicat suisse des services publics.