L’habitat semble aujourd’hui un axe central et consensuel en matière de politique vieillesse avec l’apparition de différents modèles d’habitat alternatif au logement traditionnel ou à l’institution médico-sociale.
La mise en place de colocations pour personnes vivant avec une démence offre une nouvelle structure de prise en charge. Les colocations visent à encourager la continuation d’une vie aussi « normale » que possible dans un environnement non-médicalisé qui s’apparente à un « chez-soi ».
Comment sont pensées les colocations et de quel public sont-elles composées ?
En quoi diffèrent-elles d’autres structures ?
Quels en sont les avantages et les limites ?
Ce type de logement s’inscrit-il dans la continuité d’un « chez-soi » ?
Cette intervention présente les résultats d’une étude de deux modèles de colocations dans le canton de Vaud.
Conférencières
Entrée libre